Publicité

Découvrez les recommandations de lecture de la plus grande communauté de lecteurs du Québec

25 075 livres notés et commentés

Une communauté de 14 361 lecteurs

Appuyée par 181 libraires indépendants

Joignez-vous à la communauté quialu.ca
Votre avis est précieux

Vous êtes un grand lecteur ou un occasionnel. On adorerait vous compter parmi nous et connaître votre opinion sur les livres que vous dévorez. En contribuant à la discussion, vos commentaires pourront aussi aider les lecteurs lors de leur magasinage sur leslibraires.ca.

1

Connectez-vous avec votre compte Les libraires

Créez un compte en moins d’une minute ou connectez-vous avec votre compte Les libraires si vous en possédez déjà un.

2

Notez, commentez et discutez

Trouvez des livres que vous avez lus, donnez-leur une note et formulez un commentaire. Vous pouvez aussi aimer les commentaires des autres lecteurs pour dire à la communauté lesquels sont les plus utiles.

3

Trouvez le prochain livre que vous allez aimer

Suivez des lecteurs avec qui vous avez des affinités littéraires. Obtenez des recommandations de livres personnalisées en fonction des livres que vous aimez ou commentez sur quialu.ca.

Publicité
Publicité
Publicité

Activités de la communauté

Maîtresse de tous les maux : l'histoire de la fée noire

Par Serena Valentino
(5,0)
1 personne apprécie ce livre
2 commentaires au sujet de ce livre
Encore un chef-d'œuvre de Serena Valentino! Mon film Disney était La belle au Bois Dormant quand j'étais petite, j'avais donc très hâte de lire ce tome 4. Et je n'ai pas été déçue!

Famille royale

Par Stéphane Rousseau
(3,71)
3 personnes apprécient ce livre
4 commentaires au sujet de ce livre
Un livre que j'ai dévoré! Je croyais vraiment que la hype autour de ce roman était injustifiée, j'ai donc attendu que la poussière autour redescende. Mais je dois dire que c'est excellent. Rempli d'anecdotes de jeunesse, Stéphane vous fera voyager dans ces débuts sur les planches, dans le camping nudiste où ses parents l'amenais mais aussi dans des histoires parfois plus tristes ou dramatiques. Une excellente lecture de table de chevet!

Petite Madeleine

Par Philippe Lavalette
(4,0)
2 personnes apprécient ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
On pourrait dire que la famille Barbeau-Lavalette recherche dans sa généalogie une continuité et un sens à l’existence. Manon Barbeau avait débuté cette quête avec son documentaire Les enfants du Refus global dans lequel elle questionnait, entre autres, les intentions artistiques de son père, le peintre Marcel Barbeau, suivie par sa fille Anaïs Barbeau-Lavalette retraçant le parcours de sa grand-mère disparue, l’artiste Suzanne Meloche dans La femme qui fuit. Philippe Lavalette quant à lui, avec Petite Madeleine, se tourne vers les origines obscures de sa grand-mère maternelle, abandonnée à la naissance et devenue pupille de l’État français. « J’ai toujours pensé que certains de mes gestes étaient le prolongement de ta pensée et de tes désirs. » Un retour émouvant et nostalgique sur les premiers pas d’une aïeule née en 1909 et qui a fait son chemin malgré un départ des plus hasardeux. Le ton est donné dès les premières phrases, le récit sera enveloppé d’amour et de tendresse. L’auteur évoque avec brio les quartiers parisiens de l’époque picturale des Picasso, Modigliani, Foujita, Derain et consorts avant de poser son regard sur bébé Madeleine, laissée par sa mère devant la porte de la logeuse et recueillie par une âme charitable, Madeleine Fargeau, modèle préféré des plus grands peintres du moment. Une vie reconstituée dans ses moindres détails parce qu’occultée pendant de nombreuses années. Un exercice admirable à tous les niveaux et que l’on souhaiterait pouvoir reproduire pour soi. Je compte bien lire dans la même veine, le dernier récit de Philippe Lavalette, Marchand de Quatre-Saisons.

Lecteur de cadavres (Le)

Par Antonio Garrido, Nelly Lhermillier et Alex Lhermillier
(4,0)
5 personnes apprécient ce livre
5 commentaires au sujet de ce livre
« Un foyer fort est celui que soutient un père courageux, une mère prudente, un fils obéissant et un frère obligeant. » Song Cí se souvient de la maxime paternelle mais, par un étrange et funeste destin, sa famille n’a pu l’observer assez longtemps, éclaboussée par la condamnation à mort du frère aîné accusé de meurtre, et ultimement décimée dans un incendie de la maison familiale. Avec sa petite sœur survivante, Troisième, Cí quitte alors son village et entreprend une quête personnelle qui le mènera à Lin’an, où il compte reprendre ses études interrompues vers la judicature. C’est ce chemin parsemé de difficultés et de pièges qu’il nous est donné de parcourir avec notre pugnace héros. Sur plus de six cent pages d’immenses revers et de petites victoires, Cí devra tirer son épingle du jeu au sein de la société chinoise médiévale, codifiée à l’extrême. C’est d’ailleurs ce dernier aspect du récit qui m’a le plus captivée, l’intrigue en elle-même s’avérant lassante par une suite d’incessants revirements dont on ne voit malheureusement plus la fin jusqu’à la toute dernière page. Antonio Garrido s’est documenté avec rigueur pour pondre ce roman historique décrivant les origines de la médecine légale et les avancées techniques sous la dynastie Song. Ce côté didactique est judicieusement renforcé par un glossaire et une liste bibliographique de laquelle Garrido a puisé un réalisme puissant allié à un imaginaire foisonnant.

Belle comme le fleuve

Par Mélissa Perron
(4,66)
2 personnes apprécient ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Ce livre au paysage léger m'a fait un bien fou! À lire!

Louange de l'ombre

Par Jun'ichiro TANIZAKI
(4,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Intéressant bien que parfois un peu trop complexe. Ce livre explore des éléments auquel je n'avais réfléchi et m'a permise d'apprécier le monde sous une nuit différente.

Danse, danse, danse

Par Haruki MURAKAMI
(5,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Que dire, je suis une fans et ce livre me laisse beaucoup de bonheur et à la fois un doux deuil.

Trop de Pascale

Par Pascale Bérubé
(4,33)
2 personnes apprécient ce livre
2 commentaires au sujet de ce livre
J'ai adoré ma lecture de cet objet inusité, unique et pensant.

Fa que

Par Patrice Desbiens
(4,5)
2 personnes apprécient ce livre
2 commentaires au sujet de ce livre
Très actuel et branché sur une réalité à Montréal qui me fait du bien.

La foodie T.2 : Une bouchée à la fois

Par Dominique de Loppinot
(4,5)
1 personne apprécie ce livre
2 commentaires au sujet de ce livre
Le commentaire de Lynda : ♥ Coup de coeur ♥ Le premier tome a été un coup de cœur, et le deuxième tome le fut également. J’étais très contente de retrouver Madeleine, ainsi que plein d’autres personnages qui ont été au centre du premier tome, surtout Madeleine bien sûr, mais également Nadia. Ces deux-là font vraiment la paire. On se souvient que le premier tome s’était terminé avec l’annonce du gagnant du concours. Cette annonce n’est pas au premier plan au début du 2e tome, mais un peu plus tard. L’auteure met moins d’emphase sur la cuisine dans ce 2e tome, qui se consacre surtout sur Madeleine, ses amours, sa famille, ses buts, et j’ai beaucoup aimé approfondir ce personnage que l’on a appris à aimer dans le 1er tome. Madeleine est maintenant rendue à Montréal, et ce contre l’avis de ses parents qui ne sont pas tellement d’accord de la voir poursuivre dans cette voie, mais Madeleine s’est fixé un but et un objectif et elle ne dérogera pas, c’est primordial pour elle de réussir. Mais il y a aussi autre chose que la cuisine dans la vie et elle devra apprendre à vivre avec ça, la famille oui bien sûr, j’en ai déjà parlé, mais que dire de l’amour, et Romain, dans tout ça, réussira-t-elle à lui faire une petite place dans sa vie ? Madeleine est comme tous les jeunes adultes qui avancent et qui foncent dans la vie. C’est une jeune femme à laquelle on s’attache, et ça pourrait être facile de s’y identifier, je suis certaine d’ailleurs, que beaucoup de jeunes vont se reconnaître dans ce personnage. Bref, j’ai beaucoup aimé ce deuxième tome, qui se déguste page par page, comme un bon petit plat que l’on a réalisé en suivant une recette. L'auteure sait garder notre attention et ce depuis le tout début, et quand on termine, on aurait eu envie de continuer. Une plume fluide, des situations qui nous vont directement au coeur, que demander de plus ? Un coup de cœur pour la fraîcheur du personnage, pour l’histoire qui nous tient solidement du début à la fin, et je crois, que même si ce 2e tome est final, et bien, on aurait pris encore et encore sur Madeleine et son parcours de vie, qui fait chaud au coeur….Je vous recommande sans hésitation. https://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2024/04/la-foodie-t2-une-bouchee-a-la-fois-dominique-de-loppinot-les-editeurs-reunis-par-lynda-massicotte.html

Obsolète

Par Alexandra Gilbert
(4,0)
4 personnes apprécient ce livre
3 commentaires au sujet de ce livre
À la mort de son père, Marie hérite d'une imposante collection d'antiquités québécoises. Les dernières volontés de son père sont claires; elle ne peut pas détruire, jeter ou donner sans fondement ce qui relève du patrimoine. Ces conditions l'amènent tranquillement à apprécier le patrimoine accumulé par son père et à remettre en question son mode de vie consumériste.

Ben le champion T.1 : Le clan des orangs-outans

Par Hugo G. L'Éclair
(4,33)
2 personnes apprécient ce livre
2 commentaires au sujet de ce livre
Mon garçon à adoré!

Le Clackity T.1 : Les chroniques de Port-la-Rouille

Par Lora Senf et Alfredo Caceres
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Incontournable Février 2024 J'ai été impressionnée par ce roman, qui me rappelle le monde à la fois surprenant et effrayant de Coraline, tout en ayant une forte dimension psychologique et féministe. Il y a un travail autours des personnages féminins que j'ai affectionné tout du long et ces "maisons" étaient fascinantes chacune à leur manière. Avec tout l'engouement pour les romans effrayants et la magie de toutes sortes en ce moment, je n'ai pas de mal à imaginer de nombreuses lectrices et de nombreux lecteurs adopter cette série. Port-la-trouille porte bien son nom, en sa qualité de septième ville la plus hantée des états-unis. Si on ne s'y étonne pas trop de certaines manifestations surnaturelles, ces derniers temps, on s'inquiète d'un lieu en particulier, un ancien abattoir, dont l'un des trois frères à son origine était un meurtrier en série. Dans de tels cas, les habitants vont consulter la tante d'Evie, Desdemona ( "D" pour sa nièce). La récente orpheline adore sa tante et quand celle-ci disparait dans ce vieil abattoir sinistre, Evie se retrouve face à l'entité qui a prit possession des lieux, le Clackity. Il parle à la 1ere personne du pluriel, promet de "bons et juste marchés" bien louches et son sourire carnassier est aussi lugubre que son oeil aveugle cousu de fil. Protégée d'un allier inopiné, un oiseau qui s'est tatoué sur peau, la jeune fille se voit confier la mission d'entrer dans un monde étrange au ciel mauve et au soleil noir, pour ramener sa tante, certes, mais surtout de ramener ce que le Clackity appelle "L'homme-veau-vache-cochon. Dans ce monde étrange, elle devra visiter sept maisons, toutes plus différentes et troublantes les unes que les autres, avec sur les talons un être impitoyable et sur son chemin de nombreux personnages pour la guider ou la soutenir. Evie était à peine esquissé dans son histoire que je l'aimais déjà. Déjà, son apparence est sympathique: cheveux longs rasés à la base du crâne et derrière les oreilles, yeux fardés de noir, chaine au cou, vêtements confortables noirs, elle a un style un peu "rock gothique" que je ne vois pratiquement jamais. Surtout, elle est une vraie incarnation de la force chez un humain, qui ne se caractérise pas en version mâle et brutale comme semblent le penser les autrices de certains romans, mais une jeune femme qui a un réel courage, qui lute contre sa peur, affronte ses démons et fait tout cela au nom de ceux qu'elle aime sincèrement. Wouah! Ça c'est une fille forte! Elle a également l'humilité de savoir demander de l'aide quand il le faut, fait preuve de compassion envers autrui et sait défendre ses valeurs. Et double bonus, on a pas eu l'idée de lui coller un gars pour la défendre ou pire, un garçon pour occuper son coeur ( pour une fois). J'adore qu'elle occupe l'espace narratif ainsi, nullement gênée par les clichés qu'on accole trop souvent aux personnages féminins. Mieux encore, la vaste majorité des personnages sont des personnages supportaires sont féminins. Trois soeurs un peu sorcières sur les angles, chacune d'une couleur différente, dont les prénoms restent secrets, sont au nombre de ces personnages. Elles apparaissent dans la seconde maison, et elles confient trois présents à Evie pour sa quête, comme des version un peu glauques des fées marraines dans la Belle au bois dormant, mais loin d'être de stupides artifices superficiels, ces cadeaux auront plutôt des vocations d'aide. Dans les autres personnages phares, notons la très charmante tante D, avec qui Evie semble se faire entendre et comprendre, ce qui dénote une relation très saine et très sincère. Il y a quelque chose de touchant dans ce portrait de femmes, peut-être parce que j'ai tant vu de tantes et de marâtres épouvantables, jalouses et stupides, que de voir tout l'inverse me rassure. Il est bon de sortir de toute cette mouise de rivalité malsaine entre femmes, surtout quand il s'agit d'adresser la restructuration familiale. Après tout, Evie n'a plus que se tante et celle-ci endosse son rôle de tutrice avec sérieux. C'est également un contraste étonnant dans un univers sombre que de voir autant de bienveillance. J,y reviendrai. À partir d'ici, il y aura quelques [ sombres ] petits divulgâches. J'ai trouvé cet univers riche et beaucoup plus profond qu'il en a l'air à priori. Ce qui devait s'orienter comme une quête initiatique prend une tournure de thérapie, comme si à la lumière des évènements vécus, notre héroïne ne faisait pas que grandir en surmontant les difficultés, mais en faisant une part du processus de deuil avec son passé et sa situation. Elle affronte des éléments difficiles de son passé, surtout la disparition de ses parents. Evie va d'ailleurs l'avoir en pleine dent: La première maison à visiter n'est nul autre que sa maison, qui va brûler une seconde fois alors qu'elle s'y trouve. C'est ce qui s'appelle une plongée directe en plein trauma! ET ce n'est que la première maison... Ces maisons sont fascinantes, tellement variées, c'était inattendu également. Certaines sont à peine des "maisons" et si certaines étonnent, d'autres sont carrément flippantes. Il y avait quelque chose de profondément évocateur dans le fait que si l'original déstabilise, ce sont les trucs "normaux" qui sont choquants, comme cette maison tout-à-fait banale qui recèle un sombre secret qui n'est pas étranger à cet homme-veau-vache-cochon. C'était habile de la part de l'autrice et me rappelle certains romand e Stephen King qui jouaient avec cette "normalité" horrifiante. Le clackity est un drôle de spécimen, ambigu, sournois et présent de manière dérangeante, comme un parasite à patte. Son oeil cousu et son sourire narquois reviennent sur certains habitants du monde au soleil noir, ce que remarque Evie, bien sur. Son intérêt pour l'homme-veau-vache-cochon est encore un peu nébuleux, même après lecture. Mon impression est qu'il n'aimait pas la présence de cet être perfide dans ce monde, mais le fond du fond est peu clair. Ça m'amusait quand même de voir un antagoniste détester un autre antagoniste et sa façon d'être est peut-être malaisante, il n'a pas non plus nuit clairement à Evie. Je trouve les antagonistes ambigus bien plus intéressantes que les gros méchants, parce qu'ils sont plus nuancés et imprévisibles. Et l'incertitude me semble bien plus effrayante qu'un Mal connu. J'ai vécu une micro-déception face au roman quand j'ai comprit que, contrairement à la couverture, ce n'était pas le Clackity le narrateur. Avoir un bâtiment maléfique comme personnage principal, qui plus est aussi charismatique, m'aurait plu. Mai bon, je me console avec Evie, superbe personnage elle aussi. Le claire côtoie le noir, il y a des jeux d'ombres dans les personnages, entre les apparences et les personnalités, les lieux et les impressions. Je disais que la bienveillance est fortement présente dans le livre, la force morale et la solidarité également. C'est un bel exemple d'histoire qui utilise la noirceur et les éléments traditionnellement effrayants pour orienter un message d'espoir et de bienveillance. J'ai vu l'inverse également, des romans en apparence lumineux et légers orienter des messages malsains et promouvoir des amours toxiques. Comme quoi, il faut se méfier des apparences, même dans la fiction. Les messages qu'on y trouve sont parfois en contradiction avec le registre...ou alors on utilise le registre pour donner plus de force au message. Ici, c'est un monde sinistre et en apprenne effrayant, mais étonnamment, il y a du bon dans ce monde-là. Et puis, quoi de mieux que le noir et les ombres pour mettre en valeur la lumière? Cette histoire de pennies sur les yeux m'auront évoqué les rites de certaines nations sur leurs défunts, pour payer leur passage dans l'Autre monde, et certaines créatures me rappellent les monstres de certains folklores bien plus que les créatures fantastiques un peu édulcorées des temps modernes. J'adore le travail de l'illustrateur. La couverture est géniale, dans le ton, de même que la 4e avec ce clackity et son sourire machiavélique. Il y en a également dans le roman. C'est vraiment une curieuse chose que ce roman noir et ténébreux rempli de beaux personnages et d'éléments fascinants, comme le sont les quelques "Ténébreux Sympathiques" que j'ai eu la chance de trouver ces dernières années, mais ce roman-ci ne se contente pas d'inverser ombre et lumière, il s'attarde aux nuances entre les deux et joue davantage sur le côté "thriller" que les autres. Avec son intense charge émotive dans certains passages et l'urgence de trouver la septième maison, on est happé par cet univers comme une vague sombre sous le couvert de la nuit. Il y a quelque chose d'attractif également dans la plume de l'autrice, dont on ne peut que constater son intérêt pour ce genre de monde et le registre épouvante. Je trépigne un peu d'impatience de montrer ce roman à mes profs en librairie et je sais déjà quel roman sera ma petite vedette pour Halloween cette année! Une petite vedette aussi sombre que le chocolat noir, mais dont les notes chaleureuses et addictives évoquent le chocolat chaud à la citrouille épicée. Vivement l'automne! Pour un lectorat intermédiaire du troisième cycle primaire, 10-12 ans+

La disparue du lac Hjälmaren

Par Anna Jansson
(4,0)
2 personnes apprécient ce livre
2 commentaires au sujet de ce livre
Un thriller à couper le souffle. Un "turn page". On ne peut deviner la fin. Vivement la suite.

Le tournoi T.1: Déportation

Par Mégann Plamondon
(4,5)
1 personne apprécie ce livre
2 commentaires au sujet de ce livre
Une série à découvrir! Dystopie jeune adulte, Déportation est le tome 1 de la trilogie Le Tournoi. On se retrouve dans un monde où le système judiciaire ne fonctionnait plus pour dissuader les crimes, jusqu’à ce que l’on crée le système du Tournoi. Tous les criminels reconnus coupables y sont envoyés pour combattre. Jumelés avec un autre criminel, ils seront observés à l’intérieur et à l’extérieur de l’arène. L’histoire suit Kary, qui intègre le Tournoi mais n’aurait pas dû s’y retrouver, ainsi que Xander, qui a toutes les raisons d’y être mais n’aurait également pas dû s’y rendre. Chacun a ses propres motifs et secrets, et tous deux devront faire équipe pour survivre aux épreuves du Tournoi. Quelle belle surprise qu’a été cette lecture! J’ai beaucoup aimé ce premier tome et ai très hâte de poursuivre la trilogie. J’avais des doutes en début de lecture, car l’histoire prend un certain temps avant de prendre son envol, mais tout prend son sens dans la deuxième partie du roman. La façon dont tout s’emboîte et que les liens se créent m’ont agréablement surprise, je ne m’attendais pas à ça. Je lève mon chapeau à l’auteure qui a su créer un impact subtil mais efficace et captivant. J’ai aussi beaucoup aimé le système et fonctionnement de ce monde futuristique/dystopique. Le tout était extrêmement intéressant. J’ai bien aimé l’évolution graduelle de la relation entre Kary et Xander et la complicité qui en est ressortie. Aucune romance pour l’instant, mais c’est à suivre. J’ai également grandement apprécié le caractère de Kary, qui prenait de plus en plus d’assurance plus le livre évoluait. Et Xander… je l’adore. Le livre se termine avec un bang, j’ai terminé ma lecture sur le bout de mon siège. Si vous aimez les atmosphères dystopiques, je vous le recommande fortement. Et je pense qu’en tant que roman jeune adulte, il ne faisait pas trop jeune. (Recommandée pour les 16 ans et plus.) *Roman raconté à la troisième personne, principalement sous les points de vue des deux personnages principaux (points de vue changent en alternance de chapitre en chapitre). Cote finale: 4.5

Rose Ondine T.4 : Dans la tempête éternelle

Par véronique Le Comte
(4,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Pour tous les fans de urban fantasy, cette série de 4 tomes, jeune adulte/new adult, saura vous faire passer un excellent moment et vous immerger dans une histoire comme nulle autre. Dans cette saga, on suit Rose, qui croyait être humaine jusqu'à ce qu'elle découvre que d'autres créatures vivent dans son village. Loups-garous et créatures appartenant à un des quatre éléments (air, eau, feu, terre) côtoient les humains dans le secret et Rose découvrira qu'elle est possiblement plus impliquée dans leur monde qu'elle ne le croyait. Je dois avouer que ce 4e tome est mon favori de la saga et a réussi à détrôner le 3e livre. On voit nettement la progression de l'auteure à travers les tomes et les deux derniers livres contiennent des éléments encore plus uniques qui ont fait de ces livres une série à part. La romance reste en arrière plan dans l'histoire, comme pour les trois premiers tomes, mais m'a semblée quand même un peu plus exploitée ici. Étant une fan de romance, j'en aurais pris un peu plus, mais ça ne m'a pas empêche d'apprécier ma lecture. Les personnages étaient bien construits: certains m'ont fait rire, d'autres étaient effrayants (l'auteurs sait tout particulièrement comment créer une ambiance). J'ai bien aimé l'aspect un peu plus dramatique dans ce tome (quoiqu'on restait dans un ton léger) avec Rose qui se remet des événements qu'elle a traversés dans le tome 3. Il y avait également des revirements surprenants et intéressants. Je suis toutefois restée sur ma faim par rapport à une des intrigues, initiés au prologue: j'en aurais voulu plus. Roman fantastique avec un système qui reste simple, donc qui est accessible aussi à ceux moins habitués au genre. En général, j'ai passé un très bon moment avec ce livre. La série reste à la fois légère mais complète, elle se lit très bien, l'histoire est fluide. J'ai très hâte de lire les prochains écrits de Véronique Le Comte. *Histoire racontée à la première personne, suivant le point de vue unique du personnage principal.

L'homme de la situation

Par Lucy Score
(2,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Histoire efficace dans le genre, mais l'édition française est bourrée de fautes et d'erreurs. Si vous tenez à lire cette romance, optez plutôt pour la version anglaise.

Cet enfant qui me porte

Par Jean Birnbaum
(3,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Après son populaire essai «Le Courage de la nuance», Jean Birnbaum s’attaque à un tout autre sujet et propose avec «Seuls les enfants changent le monde» un petit éloge intime et philosophique des enfants. En réaction à la nouvelle tendance des «No kids» qui croient que fonder une famille relèverait d’une catastrophe intime ou écologique, il répond plutôt qu’il n’y a pas d’espoir sans bambin. Les nouvelles générations permettraient aussi de douter de nos propres convictions et parfois même de modifier les mœurs d'une société. La philosophie occidentale a très peu pensé aux jeunes gens, comme si ces humains en formation n’étaient pas un objet digne de penser. En faisant dialoguer des penseuses et penseurs (Hannah Arendt, Roland Barthes ou Rosa Luxemburg...), le journaliste nouvellement papa fouille très bien la thématique fondamentale de nos existences.

Un Ticket pour Saint-Henri

Par Guy Roy
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Un livre très divertissant à lire qui nous guide dans St-Henri et nous fait connaitre ce quartier où ont vécu tant de personnages devenus très connus. L'auteur y fait vivre un personnage mystérieux qui interpelle les amis qui se rencontrent dans un parc de ce quartier. Un livre aussi pour ceux qui aiment les jeux de mot et l'Histoire.

Tuer la reine

Par Jennifer Estep
(4,0)
2 commentaires au sujet de ce livre
Très bonne série

Rejoignez ici la discussion autour de ce livre conseillé par vos libraires indépendants. Bienvenue : ce club est ouvert à toutes et à tous! 

Lecture en cours :

L'infini dans un roseau
Catégorie : Littérature
Éditeur : Le Livre de Poche
Collection : Le Livre de poche. Documents
Paru le 3 avril 2023
Aller au Club de lecture
Publicité
Joignez-vous à quialu.ca et participez à la discussion!
Créer un compte
Vous êtes un libraire du réseau?

Alimentez la discussion!

  • Faites profiter la communauté de vos connaissances.
  • Donnez votre avis au nom de votre librairie.
  • Devenez une référence pour les lecteurs.
Créer un compte
Plus de 800 000 titres disponibles :

Acheter local et en ligne n’a jamais été aussi facile!

La revue Les libraires, c’est :
  • un bimestriel distribué gratuitement;
  • des actualités littéraires d’ici et d’ailleurs;
  • des entrevues, des chroniques, des dossiers, des suggestions de vos libraires indépendants et bien plus encore!